Introduction aux énergies subtiles

Fabrice kouyoumdjian

1. Quelle connaissance / compétence a été confirmée ou renforcée pendant cet atelier pour vous ?

Ce qui a été confirmé ou renforcé pour moi fut ma présence sur base de la conscience dans le siège de l’âme. Je trouve que le positionnement à cet endroit donne une bonne stabilité à l’ensemble. Ce qui a été confirmé par les personnes avec qui, lors de l’atelier, j’ai pu être observateur ou acteur.

2. Quelle nouvelle connaissance / compétence avez-vous appris pendant cet atelier ?

A me centrer dans le hara J. Même si j’avais déjà lu le livre de Brennan, je n’avais pas eu l’occasion d’apprendre toutes les étapes et la finesse en live avec une personne formée à cette pratique.

Ce nouvel apprentissage m’a permis d’être pleinement dans le présent et de vivre / sentir des relations que je n’avais pas encore expérimentées jusque là. Cela m’a également permis d’avoir une plus grande confiance en moi et de poursuivre dans cette voie. Ce qui est également important, c’est le ressenti très positif que les personnes avec qui j’ai travaillé ce weekend ont exprimé.

Ce qui m’a fait comprendre que le plus important n’est pas l’intention ou l’énergie quelconque que l’on pourrait transmettre à l’autre, mais ce que l’ont est dans le présent. Plus ont est fixe ou stable et « arrivé » et plus les personnes se sentent en confiance et en paix. Ce qui veut dire pour moi que, plus que toute technique ou art de manier les énergies, le plus important, c’est bien l’état d’esprit, les sentiments développés de manière stable et durable comme la compassion, l’amour et la joie qui sont enseignés par les bouddhistes ou autres.

Dans le livre de Grande perfection, ils enseignent qu’il faut éliminer les poisons que sont la jalousie, la colère,… et j’ai trouvé pendant le stage que ces enseignements ou pratiques manquaient pour certaines personnes. Comme si le fait de voir ou sentir les énergies était plus important. Et par ce fait, ils négligeaient ces bases qui me paraissent les plus importantes.

Donc s’il fallait faire d’autres stages, se serait avec des personnes qui partagent cet état d’esprit de travailler d’abord sur les émotions intérieures. Car, comment être vrai avec l’autre en tant que thérapeute si l’on ne sait pas soit même nettoyer ces états émotionnels parasites et porteurs de séparation ?

3. Comment comptez-vous appliquer ces nouvelles compétences dans votre vie personnelle/professionnelle ?

J’essai de l’applique le plus souvent possible. Et je constate que les personnes ont changé d’attitude en mieux depuis que j’utilise ces nouvelles compétences. Je suis également plus détendu et plus souple. Tout en continuant à apprendre et appliquer les enseignements de sagesse du bouddhisme ou de la Kabbale. Comme je l’ai dit plus haut, l’important est le fait d’être. Dans le bouddhisme on apprend à être comme le Bouddha, dans la Kabbale, on apprend à être comme le créateur, à avoir les mêmes attributs de dont d’amour. N’est-ce pas cela le plus important ?

4. Quelles sont les prochaines étapes que vous souhaitez développer dans ce domaine ?

Pour arriver à mon but personnel qui est de m’aimer, d’aimer les autres et être dans le présent en corrigeant les « mauvaises » pensées et n’étant de moins en moins dans la dualité. Je sais que je ne suis pas encore totalement présent et aimerais continuer dans cette progression. Une mise en situation ponctuelle est également très appréciable pour permettre d’apporter les corrections nécessaires. Mais l’isolement est également très salutaire pour se défaire de tout se méli mélo diffusé par tout un chacun qui sont plus enfouis dans la matière et prisonniers de leurs états

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